" Si venir au monde est une condamnation à mort, le manque d'amour tue en laissant vivant." R.B.
" À
l'Amour, malgré la profondeur de ses blessures et la persistance de ses cicatrices. "
« Dans deux heures, j'ai rendez-vous
avec une parfaite inconnue. »
Au fil d'une déambulation à travers Paris, qui mènera peut-être le héros "jusqu'à
l'inconnue", celui-ci prête aux gens qu'il croise des vies amoureuses
imaginaires.
Le livre s'ouvre sur le chapitre XII. Et commence le compte à
rebours. Tentative de rembobiner le film, alors même que, comme le rappelle Romain Bévierre, on ne
rembobine pas le film de l'existence ?
Romain Bévierre convie ici une nouvelle fois le lecteur à entrer dans son univers singulier, où se confondent rêve et réalité, où les mots prennent une dimension inédite.
Éditions l'Inventaire, Paris
Illustration de couverture :
"Souvenir d'une promenade d'octobre", par Romain
Bévierre
« J’ai lu "Jusqu’à l’inconnue" de Romain Bévierre avec émerveillement. C’est d’une grâce et
d’une poésie exquises ! Il est un grand écrivain. »
Amélie Nothomb (4éme de
couverture)
« Le roman de Romain Bévierre, "Jusqu’à l’inconnue", nous a touchés en plein cœur ! La
puissante imagination de l’auteur nous conduit à une évocation de l’amour sans concession, par des chemins
détournés à l’originalité sans cesse renouvelée. Un roman singulier dans sa forme et son fond.
»
Coup de cœur rentrée littéraire 2018, Librairie
Delamain, Paris (4éme de
couverture)
« Ce qui frappe le lecteur, c’est le son du livre, sa pulsation, l’émotion et la poésie qu’il dégage.
Une partition de l’amour, avec pour notes des mots qui courent, qui sonnent. La singularité de ce roman nous
séduit et nous enchante. »
La Sélection des
sélections 2019, Fnac Genève
« Mais qu'est-ce que l'Amour ? Voilà une des questions que fait naître avec insistance la
lecture de "Jusqu'à l'inconnue" de Romain Bévierre. L'auteur comprend mieux que
beaucoup cet absolu qui se glisse dans nos existences, qui les métamorphose mais qu'un petit manque de
souffle ou l'absence d'un regard compromet en un instant : fragilité d'une extase.
»
Payot Libraire, Genève
" À la
Mémoire... À l'Oubli, parfois, aussi. "
« Regarde-les passer, bien en rang, légion imperméable, ces satanées secondes que le temps
engloutit... Il se fiche complètement de nos hésitations. Il ne nous laisse aucune marge, aucun
passe-droit autorisant les courbes, juste quelques tours de cadran pour valser avec la vie. C'est
un fou. »
Laissez-vous porter par l'écriture de Romain Bévierre, et sa capacité à saisir les caractères et les émotions humaines dans toute leur finesse. "Récits cousus main" se lit comme une dentelle, à la fois délicate dans sa forme, et on ne peut plus solide dans son fond de réflexion. À lire ! Coup de cœur Cultura, Paris 2015
Illustration de couverture : "Parfum d'infini", par Romain Bévierre
" À celles et
ceux qui ont un air de famille avec la légèreté. "
« Nous n'avons pas le temps d'établir des règles. Les premiers arrivés seront les
premiers servis. Bon courage à ceux qui partiront et... paix aux âmes de ceux qui resteront. »
Romain Bévierre invente une langue qui permet l'intimité entre
le lecteur et ces voix qui murmurent le désespoir, crient la souffrance ou chantent l'amour.
L'écoute se fait dans une proximité accrue et la musique propre à l'écriture de Romain
Bévierre ne peut que toucher plus profondément. Sa prose rythme l'émotion et lui donne son tempo
si particulier. Quand la cadence s'adoucit, le lyrisme nimbe les contours tranchants de la
colère. Un peu comme si la part sublime de l'être et la poésie, plus fortes que la laideur du
monde, renforçaient leurs pouvoirs réciproques et s'unissaient pour triompher.
Bien que
toujours nerveuse, la plume de Romain Bévierre sait aussi se faire moins acérée: si la vie est
cruelle, elle se montre souvent plus douce à ceux qui se donnent à elle, pleinement, sans arrière
pensée. L'auteur excelle alors à trouver les encres qui conviennent à en peindre
l'irrésistible beauté - pour le plus grand plaisir du lecteur. Gérard Duc, Professeur de littérature de 1970 à 2012
Illustration de couverture : "Arrêt sur image", par Romain Bévierre
" À mes proches,
à ceux qui sont partis, éternels, loin des colères et du bruit... Loin du noir. À ceux qui restent.
"
« - Certains événements portent en eux le changement. Cette forêt est une parenthèse entre
celle que tu étais et celle que tu seras, à condition bien sûr que tu parviennes à la traverser. Je
serai ton guide et nous marcherons ensemble mais attention, à certains moments, tu devras te battre
seule, lutter contre toi, contre tes ombres... et je ne pourrai rien faire.
- Mon
guide... vers quoi ?
- Un train t'attend, de l'autre côté, après la forêt.
Si tu arrives jusque là, tu repartiras.
- Repartir... vers où ?
- La
destination t'appartient.
- Et toi ? Où iras-tu ? Pourquoi fais-tu ça ?
C'est ton métier ?
- La consolation et le pardon empruntent parfois le même
chemin. »
Dans une langue qui rend hommage à la
poésie autant qu'au symbole, Romain Bévierre évoque en peu de mots ce qu'est l'homme
devant la perte, sa native difficulté d'être, sa toujours possible rédemption. Dédié par
l'auteur "à ceux qui restent", ce texte l'est aussi à ceux qui
cherchent. Coup de cœur Payot Libraire, 2013
Illustration de couverture : "Mémorandum", par Romain Bévierre